lundi 7 juillet 2014

Genèse 7.17/24; 8.1/5.




7.17
Le déluge fut quarante jours sur la terre. Les eaux crûrent et soulevèrent l'arche, et elle s'éleva au-dessus de la terre.
7.18
Les eaux grossirent et s'accrurent beaucoup sur la terre, et l'arche flotta sur la surface des eaux.
7.19
Les eaux grossirent de plus en plus, et toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel entier furent couvertes.
7.20
Les eaux s'élevèrent de quinze coudées au-dessus des montagnes, qui furent couvertes.
7.21
Tout ce qui se mouvait sur la terre périt, tant les oiseaux que le bétail et les animaux, tout ce qui rampait sur la terre, et tous les hommes.
7.22
Tout ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui était sur la terre sèche, mourut.
7.23
Tous les êtres qui étaient sur la face de la terre furent exterminés, depuis l'homme jusqu'au bétail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel: ils furent exterminés de la terre. Il ne resta que Noé, et ce qui était avec lui dans l'arche.
7.24
Les eaux furent grosses sur la terre pendant cent cinquante jours.

8.1
Dieu se souvint de Noé, de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l'arche; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s'apaisèrent.
8.2
Les sources de l'abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la pluie ne tomba plus du ciel.
8.3
Les eaux se retirèrent de dessus la terre, s'en allant et s'éloignant, et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours.
8.4
Le septième mois, le dix-septième jour du mois, l'arche s'arrêta sur les montagnes d'Ararat.
8.5
Les eaux allèrent en diminuant jusqu'au dixième mois. Le dixième mois, le premier jour du mois, apparurent les sommets des montagnes.

Réflexion...

La longue patience de Dieu a pris fin. Les flots de son jugement se déversent sur la terre. A part l'arche qui se construisait, rien ne le laissait prévoir. Tout semblait aller pour le mieux. Le monde continuait son train joyeux. On mangeait et on buvait, on se mariait et on donnait en mariage. «Ils ne connurent rien dit le Seigneur jusqu'à ce que le déluge vint et les emporta tous» (voir Matt. 24. 37 à 39 ). Un sort aussi terrible que subit atteint tous ceux qui étaient restés sourds aux appels de la grâce. Et ce récit consigné dans la Parole de Dieu constitue de la bouche même du Seigneur Jésus, le plus solennel des avertissements pour se mettre en règle avec Dieu. Chacun aujourd'hui est invité à prendre place dans l'arche, autrement dit à trouver en Christ un abri contre la colère de Dieu. Mais si nous possédons en lui cette place de parfaite sécurité, n'oublions jamais que lui a traversé à notre place les eaux terribles du jugement divin. «Toutes tes vagues et tes flots ont passé sur moi» (Ps. 42. 7 ).

Au milieu de ce cataclysme qui n'a jamais eu son égal, Noé et les siens jouissent d'une paix parfaite. Que les eaux se renforcent ou qu'elles diminuent, l'arche ne fera pas naufrage... ni non plus le croyant qui demeure en Christ.



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